CHRONIQUE 3: Comment j’ai survécu à ma relation à distance

Je sais, quand tu as vu la première phrase tu t’es dit « oh my GOD » cette histoire n’est rien d’autre l’une de mes aventures. Je ne fais que raconter des faits.

Il et son elle ont passé 3 ans à distance, et pourtant leur couple en est sorti indemne ! Voici ce qui leur a permis de tenir le coup.

Je suis avec ma petite amie depuis bientôt 5 ans, dont 3 passés à distance. Rennes-Paris, c’est pas le bout du monde tu me diras. Mais ça reste plutôt relou de ne pas se réveiller chaque jour à côté de la personne qu’on aime.

Alors effectivement, c’est pas la période de notre relation que j’ai préféré. Mais maintenant que ma copine a emménagé chez moi, je peux te confirmer que si, c’est possible de survivre à une relation à distance.

Et je vais essayer de t’expliquer comment ça a marché pour nous.

Relation à distance : accepter que tout le monde ne le vit pas de la même façon

Ce qui m’a beaucoup fait souffrir au début de ma relation à distance, c’est que ma copine n’avait pas l’air de particulièrement mal le vivre, alors que moi si.

Elle sortait régulièrement avec ses potes, il faisait des activités avec son coloc’. Moi, je pleurais tout le temps, je me sentais terriblement seul.

J’avais tout le temps envie de l’appeler raconter ma journée, et je crois que ça lui pesait un peu par moments. C’était vraiment dur de voir qu’elle réussissait à vivre sa vie normalement sans moi.

J’avais l’impression que ça ne changeait rien pour elle de ne pas me voir au quotidien. « Loin des yeux loin du cœur », comme on dit.

Et puis j’ai fini par comprendre que le manque, chacun le gère à sa façon. Ce n’est pas parce qu’elle n’avait pas constamment besoin de m’appeler qu’elle ne pensait pas à moi.

Rappelons ceci, une Relation à distance doit toujours avoir un objectif.

Un autre point qui m’a permis de tenir tout au long de ces 3 ans, c’est qu’il n’est pas arrivé une seule fois où j’ai dit au revoir à ma reine sans savoir quand j’allais la revoir à nouveau.

C’est un truc qu’on s’était promis, pour ne pas vivre en permanence dans l’expectative. Ça nous donnait du courage, à chaque fois qu’on reprenait le train, de pouvoir se dire : « À dans deux semaines ».

Et de manière plus globale, on a toujours eu une idée approximative du moment où on finirait par habiter ensemble. C’était l’objectif .

Voir le bout du tunnel, ça a été essentiel pour tenir le coup au quotidien.

Pendant ces trois années, on s’est appelés tous les soirs.

Bien sûr, il y a eu quelques exceptions à la règle mais dans la mesure du possible, on prenait toujours un moment pour se raconter notre journée de vive voix.

Là encore, ça a parfois été difficile parce qu’on avait chacun un rapport assez différent au téléphone.

Moi, j’ai tendance à beauuucoup trop parler, à base de « et dans mon panini j’ai eu qu’un seul morceau de poulet, abusé quoi » et autres infos absolument cruciales , son récit de la journée se résumait souvent à « les cours et voilà ».

Mais on a bossé là-dessus chacun de notre côté, en continuant de partir du principe qu’on ne s’appelait que si on en avait envie, et non par habitude ou pour faire plaisir à l’autre.

Et puis ça nous permettait de rester en contact avec le quotidien de l’autre : parler de nos amis respectifs, des restau qu’on découvrait, des films qu’on allait voir au cinéma…

Finalement, c’est ce qui a fait que chacun a continué d’exister dans la vie de l’autre malgré la distance, plutôt que d’évoluer chacun de son côté et de finir par s’éloigner.

Relation à distance : ne pas se mettre la pression

Il faut que je parle de sexe aussi, parce que je te cache pas qu’en relation à distance c’est pas le point le plus facile à gérer.

Le manque, évidemment qu’il existe et qu’il casse les couilles au quotidien. Mais pour moi (enfin pour nous) ça n’est pas vraiment ce qui a posé le plus de problèmes.

Le vrai problème, c’est la pression qui y était liée. On se voyait un week-end toutes les deux semaines, et au début c’était un peu comme si, sans vraiment que ce soit explicite, on essayait de labourer le sion au maximum.

On ne se forçait pas vraiment parce qu’on était quand même évidemment contents de se retrouver. Mais c’était un peu comme si on donnait tout pour ne pas regretter une fois qu’on serait de nouveau séparés.

Alors qu’objectivement, si on n’avait pas été à distance, on n’aurait sans doute pas fait l’amour tous les jours. En plus à force, on tombait dans une routine un peu relou et pas très fun, c’était parfois la course à l’orgasme alors que toi-même tu sais, c’est pas le but.

Du coup, au bout de quelques mois, on en a parlé et on s’est mis d’accord sur une chose : quand on nique, il faut que ce soit par envie, pas par peur de regretter. Et how surprising, d’un coup ça allait beaucoup mieux.

Eh oui, la communication, c’est finalement ce qui nous a permis de tenir pendant ces trois longues années.

Que ça soit parler de notre vie, de nos inquiétudes, de nos bonnes nouvelles, de nos doutes, de quand on allait se revoir de la façon dont on faisait l’amour, on a toujours pris le temps de communiquer pour ne pas laisser la distance physique devenir de la distance tout court.

Je sais bien que beaucoup de personnes vivent des distances bien plus importantes que la nôtre, par exemple d’un pays à l’autre, et que chaque relation est différente.

   Mais j’espère que ces quelques conseils t’aideront si toi aussi tu vis une relation à distance. C’est une période chiante, mais ça ne dure pas si longtemps que ça. Même 5 ans, qu’est-ce que ça représente dans une vie entière ?

Tiens le coup, et parle-moi en commentaires de ta relation à distance si tu en as vécu ou que tu en vis une en ce moment-même !

NEWS: ACT OF CARE THROUGH SOLIDARITY AGAINST IMPERIALISM, SUPPORT FOR THE POPULAR REVOLUTION AND PRESIDENT IBRAHIM TRAORÉ!

Ibrahim Traoré (born 14 March 1988) is a Burkinabé military officer and politician who has served as the interim President of Burkina Faso since 2022. Traoré took control of Burkina Faso in September 2022, ousting interim president Paul-Henri Sandaogo Damiba in a coup d’état.[5] At age 37, he is currently the second-youngest head of state in the world.[6] During his tenure, Traoré has sought to distance the country from its former colonial power, France, and played an instrumental role in founding the Alliance of Sahel States.

Ibrahim Traoré was born in Kéra, Bondokuy, Mouhoun Province, on 14 March 1988.

he studied geology at the University of Ouagadougou.[2] He was part of the Association of Muslim Students[9][10] and the Marxist Association nationale des étudiants du Burkina (ANEB). In the latter, he rose to delegate and became known for defending his classmates in disputes.[2] He graduated from the university with honors. Traoré joined the Army of Burkina Faso in 2009,[9] and graduated from the Georges-Namoano Military Academy.[2] He was sent to Morocco for anti-aircraft training before being transferred to an infantry unit in Kaya, a town in northern Burkina Faso.[9] Promoted to lieutenant in 2014, Traoré joined MINUSMA, a United Nations peacekeeping force involved in the Mali War. In 2018, he was cited as one of the MINUSMA soldiers who “showed courage” during major rebel attacks in the Tombouctou Region.[9] He subsequently returned to Burkina Faso where he assisted in operations against the escalating jihadist insurgency. Traoré fought at Djibo, in the “Otapuanu offensive” of 2019, and several other counter-insurgency operations in the country’s north.

As president, Traoré has maintained the enigmatic and very formal behavior for which he had already been known prior to rising to power. He has kept a tight control on his communication while carefully trying to present himself primarily as a war leader. 

On 6 December 2024, Traoré dissolved his government and removed de Tambèla as prime minister.

Recently, several countries, influencers, and populations have demonstrated their solidarity by expressing their solidarity

against imperialism, supporting the popular revolution, and President Ibrahim Traoré!

On this April 30, 2025

, the International Day of Support for Burkina Faso and its leader, President Ibrahim Traoré, we, peoples who cherish justice and sovereignty, affirm our unwavering solidarity with the heroic struggle of the Burkinabe people for their emancipation.

Faced with the interventionist maneuvers of the imperialist powers, which seek to undermine the ongoing revolution, we say: Enough!

Burkina Faso has chosen its path: that of dignity, national independence, and authentic social progress, far removed from neocolonial dictates.

The revolution led by Captain Ibrahim Traoré embodies the legitimate aspirations of the working masses:

• Rejection of foreign domination: military, economic, and political

• Fight against terrorism used to justify interference

• Priority given to food, energy, and educational sovereignty

• Alliance of African peoples for a common destiny free from exploitation

Today, through meetings and demonstrations, we denounce:

 The hypocrisy of the former colonial powers, which criminalize resistance while plundering the continent

 Illegitimate economic sanctions to punish countries that reject their tutelage

 Media disinformation that attempts to demonize pan-African leaders

Our message is clear:

– Honor the martyrs of the Burkinabe revolution!

– Long live the anti-imperialist resistance!

Burkina Faso is not alone! From Bamako to Niamey, from Dakar to Johannesburg, the wave of liberation is irreversible. Together, let’s break the chains of neocolonialism!

✊ Full support for President Ibrahim Traoré and the people of Burkina Faso!

✊ Down with imperialism and its local accomplices!

✊ The struggle continues until final victory!

Source: RTB

CHRONIQUE ll : LA VIOLENCE DANS L’ÉDUCATION

Toute expérience de violence entraîne de la souffrance et est une atteinte à la dignité et à l’intégrité physique et psychique des enfants et des jeunes. La violence dans l’éducation peut avoir toutes sortes de conséquences. Les effets ne sont pas les mêmes sur tous les enfants. Les conséquences de la violence dans l’éducation sont plus graves pour les jeunes enfants que pour les plus âgés. Le développement moins avancé des tout-petits pourrait en être la raison. Comme ils manquent de maturité, ils peuvent moins se protéger et moins se défendre contre la violence. Par ailleurs, à cet âge, les seules personnes de référence sont souvent les parents. Lorsque ces derniers sont à l’origine de la violence, l’enfant n’a plus personne à qui se confier pour trouver de l’aide.

Il faut également souligner que la violence dans l’éducation peut encore avoir de graves conséquences à l’adolescence. De l’agressivité, des dépressions, des pensées suicidaires, de l’anxiété et des troubles mentaux sont fréquents. C’est pourquoi il est important d’apporter aussi rapidement que possible une aide aux enfants et aux adolescents concernés.

NEWS: Kanye West officially releases DONDA 2 on streaming platforms

Okay Kanye West has officially made DONDA 2 available on major streaming platforms for the first time, after previously limiting access to the album via his Stem Player.

The long-awaited release marks a significant shift from West’s earlier approach, where fans had to purchase the exclusive device to hear the project when it originally dropped in February 2022.

The 18-track album, DONDA 2, is now streaming on platforms such as Spotify and YouTube Music. However, it has not yet appeared on Apple Music.

Interestingly, DONDA 2 has not been released under West’s usual Spotify profile, but rather through a separate account simply titled DONDA.

STORYTELLING: LA VIE DE MARIA EST UN ENFER. ( Chronique – Life Time Movie 

PREFACE

L’amour est un sentiment qui reflète la nature humaine. Déjà depuis l’antiquité, il a souvent été la cause de la débauche pour certains ou même de la joie pour d’autres. De nombreux poètes ont puisé leur inspiration de leurs histoires d’amour personnelles et c’est notamment l’émotion ressentit par ces

derniers qui a permis de donner naissances à d’aussi grands classiques de la littérature.

Or pour vous, je vais dans un premier temps conter l’histoire d’amour infernale d’une femme au grand cœur. Ensuite dans un second, vous décrirai les deux facettes de ce sentiment qui peut être bien

l’un des plus fragilisant de l’espèce humaine, de plus je vous prouverai que l’amour est bien plus fort que tout et malgré les difficultés de la vie car l’amour le vrai, finit toujours par triompher. Enfin, je vous illustrerai en quoi ce sentiment est une inspiration indémodable pour les poètes.

CHAPITRE I : LA MÉMOIRE DE MARIA

Dès l’aube, le ciel était lumineux. Les oiseaux chantaient une mélodie que seuls les personnes disposées à comprendre pouvaient identifier. Les fleurs parlaient et le sol écoutait. On

aurait dit une conversation entre naturel et surnaturel.

Maria se réveilla, comme à l’accoutumée autour d’elle : des bruits de machines et l’odeur aromatisée de l’hôpital. Ce mélange pénétra tout ses sens et diminua son rythme cardiaque. Alitée sur son lit, elle se remémora les plus sombres instants de sa vie.

Comme tous les week-ends deux de ses anciens amis du lycée lui ont rendu visite puisqu’elle se sentait seule, ses camarades n’en savaient rien, ils pensaient qu’elle ne manquait de rien. Comment ne pas être heureuse quand nous avons la plus délicieuse des compagnies ? Heureuse… Au fond elle ne l’était pas. La

 

 peur de se confier rongeait son âme elle ne prononça pas un mot jusqu’à ce que les visites soient à leur terme.

Le lendemain la même chanson se répéta. Sa bouche ne disait rien mais son cœur hurlait toute la vérité. Dans sa tête elle reproduisait les mélodies romantiques que lui chantait sa mère, il n’y avait que ça qui pouvait l’apaiser, car ces bruits de machines produisait une chanson qu’elle connaissait par cœur mais qui lui donnait la nausée et qui lui rappelait les plus sombres moments de son passé.

Maria est une jeune fille calme et plutôt réservée. Orpheline de père et de mère depuis l’âge de sept ans, cette demoiselle au cœur peiné, au visage angélique recouvrait chaque nuit ses yeux des tonnes de larme. La blessure était si profonde qu’elle vivait tel une ombre au milieu des vivants. Élevée par sa tante odieuse, elle fut forcée à faire des travaux qu’un enfant de son âge ne pouvait effectuer. Tant ses bras fragiles, et ses pieds peu robustes grelottaient sous la pluie chaque soir.

Plusieurs années passaient et sa situation se répétait tel une symphonie orchestrée par les anges du mal. Les années passent et Maria devient une adolescente, ses mains devenaient de

plus en plus moites, ses pieds aussi durs que un rocher mais sa beauté restait toujours la même. Son Charme était comparable à celui d’un ange ; pure et douce étaient les mots qui la représentait le mieux.

Mais ses yeux étaient tellement remplis de tristesse qu’à les regarder tu pouvais penser qu’ils réunissaient toutes les peines du monde. Chaque jour elle voyait ses sœurs enfiler leurs belles tenues d’école tandis qu’elle-même se vêtue de sa vieille robe pour les travaux du champ. Elle était si marginalisée que dans la région elle demeurait presque invisible. Les nuits, elle ne dormait plus mais pleurait. Un week-end, au couché de soleil, sa tante l’envoya au champ afin de se procurer du bois.

Maria étonnée d’être envoyée à des temps aussi obscures refusa de prime abord mais la méchanceté de sa tante pris le dessus. Ses mots durs tel des rochers qui s’abattait comme d’habitude sur les oreilles de Maria, la forçait à s’exécuter. Elle partit en pleurant. Sur son chemin du retour la jeune demoiselle sentait quelque chose, comme une mauvaise impression, quand d’un coup elle sentit une morsure. Elle sentit sa cheville se faire transpercer par quelque chose de si pointue et tranchant, elle venait de se faire piquer par un serpent.

Elle poussa un cri aigu et s’écroula et dans un moment d’inconscience elle revivait les moments les plus douloureux que lui faisait vivre sa tante, les bons moments avec ses parents avant leurs décès, tous ces flashbacks venaient à elle comme si c’était les dernières minutes qui lui restait à vivre. Heureusement pour Maria, un bon samaritain qui revenait de la pêche l’a vu affaiblie et pratiquement inconsciente au

 sol, réclamant de l’aide dans des murmures qu’elle-même n’entendait pas vraiment. Ainsi, ce jeune homme beau et brave à l’allure rassurante.

CHAPITRE II : LE BON SAMARITAIN

Heureusement pour Maria, un bon samaritain qui revenait de la pêche la voyait alitée au sol réclamant de l’aide. Ainsi, ce brave jeune homme éprouvait de la compassion pour cette dernière ; il entendait bien lui venir en aide. Il la prit sur son épaule et entama un périple trajet à pied à destination de son domicile. Plus tard, un soir de pleine lune, elle se réveilla toute pâle, la bouche sèche telle une vielle plante. Ses yeux si innocents visualisaient les objets qui l’entourait ; Maria était effrayée, les maux affligés par sa tante la poursuivait et lui hantait l’esprit. Le jeune et bon samaritain fit à nouveau son apparition en entrant dans la pièce dans laquelle se reposait la fragile demoiselle, dans l’espoir de lui procurer des premiers soins.

Refusant de se nourrir, elle prit la peine de s’assoir et déguster les fruits que lui ramena ce jeune gentleman. Puis elle s’allongea encore pour prendre des forces à la demande de cet homme au grand cœur. Quelques heures plus tard au clair de lune, elle sortit de sa sieste toute ressourcée de force, elle s’assit à la droite du jeune homme et dit d’une voix timide

« Joli clair de lune ! Quel est ton nom ? ». Et il répondit : « Oui aujourd’hui il est très spécial ! Valentin ». Maria « Merci d’avoir sauvé ma misérable vie »

Valentin « Pourquoi parles – tu avec tant de chagrin ?

La jeune fille au cœur meurtrit expliqua à Valentin aussi difficile que ça pouvait l’être, toutes les peines que lui fut enduré sa tante depuis le départ de ses parents. Son histoire était si émouvante que la légende raconte que pendant une minute les nuages se mirent à pleurer. Le jeune, compatissant la rassurait avec des paroles de réconfort. Les mots évoqués par Valentin, étaient d’une sagesse aussi profonde que celle d’un moine centenaire. Ils passèrent toute la nuit à converser, dans l’optique d’apprendre à mieux se connaître, mais ce n’était pas assez pour Maria. La compassion, la liberté et l’espoir étaient les sentiments dont son cœur et son esprit avaient besoin. Elle semblait être rassurée ; elle avait trouvé son

 bon samaritain. Cependant, ce sentiment de plénitude sera d’une courte durée, car peu de temps après elle devrait prendre congés de Valentin et vers l’aube elle aurait à retourner dans son enfer. (ou réalité infernale).

CHAPITRE IV: LE DEPART DE MARIA

Au lendemain matin ensoleillé, Maria se réveilla. Elle avait passé une excellente nuit, un jour nouveau s’ouvrait à elle. Néanmoins son plaisir devait prendre fin dans quelques instants. Elle devait regagner le foyer de sa tante. Comme par coutume de chaque matin elle fit sa toilette, dit au revoir à son nouvel ami et entama la route pour la destination infernale.

“ Nous reverrons – nous”, s’écria ce dernier. “ Au revoir Valentin”, répondu Maria d’une voix accablée. En marchant, elle semblait toujours être heureuse malgré sa blessure cicatrisante

à la cheville mais chantonna des cantiques d’espoir.

Toutefois, la peur envahit son cœur à l’instant où elle posa les pieds dans la concession de son “bourreau” de tante. Cette dernière s’acharna sur la jeune dame lui posant des questions absurdes et dénuées de logique au lieu de lui demander que lui était-il arrivé. En oubliant que par sa faute Maria aurait pu perdre la vie. La demoiselle garda le silence mais hélas, sa tante la battu ; Une fois de plus ; Des coups violents pouvant être entendus à un kilomètre à la ronde.

Cependant, cette fois-ci cet acte n’avait plus l’air d’être une correction. En effet, elle voulait l’éliminer,

elle désirait l’abattre. Elle éprouvait une rancœur envers cette fille dont même les habitants du village ignoraient l’origine. Effrayée, Maria partit en courant et sa tante s’écria pleine de colère : « Enfin !!! Vas t’en et ne reviens jamais sinon tu mourras comme ta stupide mère ».

En pleurs, Maria pris ses jambes à son cou en laissant sur le sol de la demeure de son odieuse tante, des dernières larmes. Étaient-ce des larmes de libération ou de tristesse ?

Maria n’avait nulle part où aller, elle se réfugia à la rivière pour méditer. Pas un seul instant ne passait sans sentir qu’elle chagrinait mais penser au sourire de Valentin la rendait

 heureuse. Maria était tombée amoureuse. À présent, son souhait était de revoir son bel gentleman.

CHAPITRE V : LES BIENS-FAITS DE VALENTIN

Le lendemain au crépuscule, Maria se réveilla, elle avait eu un sommeil pénible mais son cœur était apaisé. Si apaisé qu’elle semblait avoir oublié les maux de sa tante. Du moins quelques-uns bien qu’au fond ce n’était pas le cas. Sa tête à même le sol, ses yeux fixant le ciel, on aurait cru qu’elle écoutait les battements de la terre.

Elle était très pensive. Toutes ses pensées étaient tournées en faveur de Valentin, son sauveur.

Il était charmant, propre et gentil. Sa voix était si rassurante qu’elle pouvait redonner le sourire à Maria ; Elle l’aimait tellement, il lui donnait la joie de vivre ; Son seul souhait demeurera de le revoir au plus vite. Au fond Valentin était-il cet homme bon que Maria aimait passionnément ? Où était – elle juste tombée sur son charme de gentleman lui poussant à ne voir que ses bons côtés ?

Le soir de pleine lune, Valentin prit sa lampe, son arme de défense et entama une marche afin de cueillir des fruits au passage comme à l’accoutumée . Arrivé vers la rivière il écouta des bruits étranges. Maria aussi. Ils auraient cru entendre un animal. Le vaillant Valentin pris son courage pour essayer de se rapprocher de cette source sonore, mais Maria se senti effrayée et se cacha.

Soudainement, par coïncidence, pendant l’action Valentin se dirigea vers la cachette de la jeune fille. Ils se croisèrent du regard. Aucun mot ne sortait de leurs bouche mais leurs yeux parlaient le langage de l’amour. C’était le coup de foudre.

Il demanda à Maria :

Valentin : « Que fais – tu ici toute seule à ses temps obscures de la nuit »

Maria se mis à pleurer, il la pris dans ses bras. Il avait tout compris. Il prit sa main et la ramena dans sa demeure. Maria était épanouies, elle avait trouvé sa perle rare.

Les jours évoluèrent et plus ils passaient du temps ensemble plus leur amour grandissait, peu de temps après ils labouraient le sihon.

« L’amour est comme une fleure il faut l’arroser pour qu’il grandisse »

 Valentin savait arroser le cœur de sa dulcinée par de belle parole et ses douces caresses. Maria tombait amoureuse de lui plus le temps avançait. Et lui semblait l’aimer de toutes ses forces aussi. Combien de temps est-ce que cela allait durer ? Se demandait Maria à chaque fois qu’elle posait ses yeux sur lui.

CHAPITRE VI : LE DEPART DE VALENTIN

Valentin était caractérisé comme un homme humble, beau et d’une énorme générosité. À vrai dire, le parfait gentleman. Il était charismatique et intelligent, il possédait tout ce dont une femme pouvait rêver. Maria était chanceuse de l’avoir à ses côtés. Les mois passèrent et leur amour grandissait tel un enfant en bonne croissance.

Quelque temps plus tard Maria fut bénit, elle tomba enceinte. Heureuse d’apprendre cette nouvelle, elle s’empressa de l’annoncer à son amour

. “ Tu seras bientôt père, mon chéri “, s’écria la jeune fille. Il sembla être heureux ou du moins il donna l’air de l’être. Semaines après semaines il commença à changer, devînt distant et anxieux. La peur de s’engager le poursuivait. Effectivement son passé le troublait. Vraisemblablement, on aurait dit qu’il cachait en lui un sombre secret.

Maria était inquiète, elle ne reconnaissait plus l’homme dont elle était tombée amoureuse. Plus de caresses, aucun réconfort pour sa femme enceinte. Était-il vraiment celui à qui Maria pensait ? Ou était passé l’homme qui avait conquit le cœur de Maria ?

Après quelques mois de grossesse, Maria en souffrait le martyr. Les douleurs subies par sa tante lui revenait à l’esprit en voyant le changement de comportement du seul être qui lui apportait du bonheur. L’enthousiasme, la gaité et la joie avaient disparu du cœur de Maria.

Quant a Valentin, beaucoup trop pensif, il ne su quoi faire. La peur de se confier l’envahissait, il était troublé. Il était devenu l’ombre de son passé. Deux(2) jours plus tard, Maria devait se rendre à des kilomètres éloignés de la région voisine pour des visites médicales concernant son état.

Au terme de cette visite elle reçu une nouvelle qui devait chambouler le cours de sa vie. Dévastée, s’empressant d’en parler à son bien-aimé elle regagna aussitôt son humble demeure. Hélas, Valentin n’était point la !

Il avait prit la fuite.

 CHAPITRE VII : LA MÉCHANCETÉ DES HOMMES

Après que Valentin se soit enfuit, Maria était affaiblît, elle ne se nourrissait plus. Tous ces bons moments passés avec Valentin s’étaient simplement volatilisés. La douleur enfuit dans son cœur était tellement immense qu’elle fut une dépression et malheureusement elle perdit sa grossesse. Elle voulait s’immoler car elle se croyait être maudite et le seul moyen de mettre fin à cette malédiction était de se supprimer. À mille et une reprise, elle tenta cet acte ignoble mais, à aucun instant elle ne succomba. On aurait dit

qu’elle était protégée par un être suprême. La perte de son bébé, la triste nouvelle de sa maladie , ainsi que le départ de Valentin l’affecta inconditionnellement . Maria était à nouveau seule , elle n’avait personne à qui parler ou se confier , en effet tout son entourage l’avait abandonné. Elle n’avait que sa douce voix pour la consoler , toutefois cela n’était pas suffisant pour apaiser le cœur de cette demoiselle à qui la vie affligeait toute les misères.

Malgré le fait qu’elle était livrée à elle même , Maria pensait toujours à Valentin, elle ne lui en voulait pas de l’avoir abandonné. Pour cette dernière , il était près d’elle et allait revenir.

Chaque soir elle sortait pour attendre l’arrivée de son bien-aimé mais , il ne vint jamais. Un matin, le soleil venait de se lever. Un nouveau jour s’annonçait pour Maria . Quand soudainement, elle entendu des bruits étranges et menaçants s’approchant de sa concession ou du moins celle de Valentin . « Où est cette sorcière, sors de ta cachette, et remets- nous ce que tu nous a pris ! » , dit un homme au ton brutal . Maria confuse ne savait pas de quoi il parlait et répliqua :

« Bonsoir ! Bienvenue dans notre humble demeure que pouvons-nous faire pour vous aider ? Je ne vous ai jamais vu dans la région »

Jules : « Je suis le frère de Valentin , qu’as tu fais à mon frère ? »

Maria surprise s’exclama :« Où est mon bien aimé ? Que ce passe – t – il » Jules , le frère aîné de Valentin reconnu pour son tempérament agressif et barbare s’empressa de la ligoter afin de la chasser de la concession de leur frère et dit d’une voix à glacer le sang : « Aujourd’hui est le jour où tu rejoindra tes ancêtres , comme tu as tué notre frère nous allons te faire subir les pires des souffrances avant de t’éliminer ». Avec tant de haine dans les yeux de Jules , les gestes de ses bras répétaient ce que sa bouche disait . Maria était devenu muette, elle croyait être dans un cauchemar . Son visage était imbibé de larmes . Les misères continueront de plus belle .

Un soir sous une torride pluie, le sol était trempé et Maria était retenu sous un arbre ligotée comme un animal, se débattant de ses cordes ardentes elle tente de s’enfuir mais hélas elle échoua . Les frères

 cadets de Jules s’empressèrent de la rattraper . À la demande de Jules le maléfique , ils la violèrent et lui furent subir des atrocités dépassant les limites de l’entendement . Après leur acte démoniaque, elle s’écroula, Jules savait qu’elle vivait encore. Il refusa de l’abattre , il voulait qu’elle vive avec cette douleur car cela lui procurait du plaisir. Avant d’abonner son corps innocent baignant dans le sang , il chuchota à son oreille d’une voix machiavélique, :

« J’ai tué mon frère, il avait tout ce que je n’ai jamais eu , maintenant il n’est plus . Tout ce qu’il a laissé derrière lui m’appartient. Sois la bienvenue en enfer »…

CHAPITRE VIII : L’ENFER DE MARIA

Les vêtements crasseux , les blessures recouvrants son doux visage , Maria était encore une fois allongée à même le sol . Était- ce devenu une habitude ? Se demandait – elle , les yeux fermés car les puissants rayons du soleil levant agressaient son corps à moitié battu à mort. Elle s’était vraisemblablement endormie là , à ce même endroit où elle fut sexuellement abusée quelques heures plus tôt. À ce moment vivre n’avait plus d’importance. Toutefois , pourquoi la malheureuse fille reste immobile à ce point ? Pourquoi n’essaye – t – elle pas de trouver de l’aide bien qu’il n’y ait aucun individu aux alentours ?

La réponse à cela est aussi triste que le destin d’un être au cœur meurtri. En effet , Maria était devenu l’ombre d’elle même . À chaque minute qui passait, elle se refaisait le film de cette nuit torride. Après dès jours , elle ne mangeait toujours pas , ne marchait pas et ne bougeait même plus. Elle demeura constamment les yeux fermés et implora Dieu de lui ôter la vie car elle voulait mettre fin à cette souffrance qui rongeait son cœur. Mais il restait silencieux , pour elle même le créateur l’avait abandonné.

Aussi elle avait l’impression de faire les frais d’un karma dont elle ne reconnaissait point les tords . Elle vivait l’enfer sur terre. Elle n’avait nul part où aller, retourner chez sa tante était impossible car cette dernière la voulait morte. Elle n’avait aucun amis, ou du moins dans cette région. Personne ne voulait l’aider. Le peu de gens qui passaient près d’elle l’ignorait. Effectivement, la belle Maria aux yeux tendres et aux larmes chaudes était notamment considérée comme une personne détestable car dans cette région une femme qui s’était faite violée était considérée comme maudite .

N’ayant guère l’embarras du choix , la forêt était devenu sa demeure. Les oiseaux et les bêtes étaient devenus ses compagnons nocturnes. Elle vivait , mais son cœur était mort de chagrin. Pendant des nuits, des jours, et des semaines Maria restait toujours à même le sol. Elle pensait à la perte de ses parents, la démonstration de la haine par sa tante, l’amour , la compassion et la méchanceté des hommes .

 Avec du recul , elle se disait être en parti responsable du meurtre de son bien aimé car « Si je ne l’avait pas effrayé avec cette grossesse il ne se serait point enfuit et serait toujours à mes côtés » s’exclama – t – elle dans ses pensées . Cette phrase se répétait en boucle . Mais qu’est ce qui avait poussé Valentin à prendre la fuite tandis qu’il aimait Maria tel un fou ?

Hélas elle ne le saura jamais d’autant plus que la cupidité de ses frères a coûté la vie à ce dernier . Parfois , l’amour a des raisons que la raison ignore et lorsque nous cherchons à discerner ses même raisons, elles deviennent virulentes à nos sentiments. Cependant , malgré toutes ses douleurs Maria était convaincue d’une chose, Valentin l’aimait vraiment, elle aussi et s’il s’était enfuit c’est parce qu’il avait été poussé par quelques choses qu’elle ne pouvait guère comprendre parfaitement.

Était – elle trop naïve ou juste de nature positive ? Elle avait tant de questions à lui poser , son seul désir était de rejoindre l’élu de son cœur chagriné .

CHAPITRE IX : LES RETROUVAILLES

À 6 heures du soir , toujours alitée à même le sol dans cette forêt dense , Maria subissait les supplices que la vie lui affligeait. Ses espoirs et ses rêves étaient réduits à néant.

Mais la vie lui accordera une lueur d’espoir car elle devait faire une ultime rencontre qui devait à nouveau changer son destin .

Quelques jours plus tard , sa région devait recevoir la visite d’un médecin afin d’octroyer des soins préventifs à une majorité des habitants .

À cet effet , ce docteur reçu l’un des plus chaleureux des accueils .

Il était considéré comme le Messi , car il apportait la solution aux âmes meurtris et aux malades .

Au couché de soleil , sur la route du départ il décida de prendre le chemin de la forêt . Celui-ci étant moins long dans l’optique d’accéder au prochain village.

Quand soudain , il aperçu ce qui semblait être une jeune femme à la beauté fracassante mais au teint pâle , marchant en boitillant . Elle avait les pieds aussi noirâtres que du charbon , c’était Maria.

De prime abord, son réflexe fut de la conduire dans sa demeure à 10 Km éloignés de sa région. Épuisée et ne pouvant que très peu s’exprimer , la demoiselle exténuée se laissa transporter par le parfait inconnu .

 Arrivés dans sa demeure , il fournit à Maria les soins nécessaires à son rétablissement . Tel un oracle, il su ce que Maria avait enduré durant cette nuit maudite . Heureusement pour elle le pire n’était point arrivé , elle avait juste besoin d’attention et de beaucoup de repos.

Ce médecin à l’allure charmante semblait avoir un grand cœur et ressentait de l’empathie pour cette dernière.

Un sentiment de déjà-vu lui venait à l’esprit à chaque fois qu’il posait les yeux sur cette jeune fille blessée.

Instantanément , il fit un pas dans le passé et se souvenu qu’il eu autrefois une patiente nommée Marie qui était le portrait craché de Maria.

Il se rappela également que cette même dame avait attribué le même prénom à sa fille .

Vraisemblablement , il la connaissait bien et il affirma à Maria qu’il fut notamment le monsieur qui avait annoncé sa venue au monde. En effet , pour lui cela ne faisait plus l’ombre d’aucun doute .

Il lui raconta par la suite des petits moments de joie partagés avec ses géniteurs lors de sa venue sur cette terre.

La silencieuse Maria était attentive et demeurait stupéfaite .

Elle était émue à l’idée d’avoir des réponses à certaines questions qui lui ont été enfuit depuis sa naissance. Le docteur d’une voix rassurante s’exclama : « Nos retrouvailles ne sont guère le fruit d’un hasard , j’attendais ce moment depuis des lustres . Je vais te raconter ton histoire depuis là où tout a commencé »

CHAPITRE X : LA DÉCEPTION DE MARIA

À l’aurore , plongée dans ses pensées , Maria était paisiblement allongée sur son lit confortable.

Ce docteur considéré comme un Dieu pour certains villageois avait donné la foi de croire à nouveau à la bonté des hommes.

Toujours craignante , elle se méfiait beaucoup mais était curieuse de recueillir des assertions à toutes ses interrogations.

 C’est ainsi qu’il commença à lui conter les difficultés de sa venue au monde , la bonté de ses parents, le départ de son père et la promesse qu’il avait faite à sa mère avant sa mort .

La jeune Maria était attentive à cette histoire aussi émouvante que touchante.

Si bien qu’à son tour elle se confia à ce médecin et lui révéla toutes les atrocités qu’elle avait subit durant toute son enfance.

L’ homme perplexe avait presque les larmes aux yeux. Étaient- ce des larmes de tristesse engendrées par de la pitié ?

À leurs côtés se joigne la fille du docteur .

Elle dont la vie avait privé de la parole ressentait beaucoup d’appréciation à l’égard de cette belle fille au yeux d’ange.

Tous les soirs avant de dormir Maria lui interprétait de douces mélodies que sa mère lui chantait durant son enfance .

La légende raconte que la voix de Maria pouvait apaiser le cœurs des meurtris. Sentimentalement , Maria était affectée mais elle se rassurait de procurer du bonheur autour d’elle.

Des semaines passèrent , Maria s’était familiarisée avec la famille du docteur. Ce générateur de vie était devenu comme un père pour Maria .

Mais en était – t – il le cas pour ce dernier ? Quelles étaient ses réelles intentions ?

Au fur et à mesure Maria devenait proche de celui qui lui redonnait l’espoir de vivre . Cet homme semblait nourrir des désirs à l’égard de cette jeune fille innocente .

Maria l’aperçu mais ignorait cette pensée car pour elle ce fait était juste absurde , cela était en quelques sortes le fruit de son imagination.

Les paroles de réconfort de ce dernier et la promesse de protection faite à sa défunte mère lui revenait à l’esprit redonnaient confiance à Maria .

Parfois nos yeux connaissent la vérité mais notre cœur refuse de la percevoir , la nativité nourrit notre cœur et la naïveté s’installe.

En effet , Maria était une belle fille convoitée par beaucoup d’hommes y compris celui qu’elle considérait comme un père .

 Un soir, il se rendu dans la chambre de Maria afin de séduire cette dernière avec des présents que toute femme de son âge souhaiterait avoir cependant elle le repoussa. Un véritable calvaire nuptial allait alors débuter .

La nuit d’après elle le repoussait à nouveau en lui faisant comprendre qu’elle le considérait comme un père mais il ne voulait point entendre de telles absurdités .

Au troisième soir , il insista d’une manière presque violente . Toutefois Maria resta sur sa décision et le docteur , par frustration abusa d’elle.

Cet acte se répéta toutes les nuits , Maria était devenue son objet sexuel. Comment cet homme au coeur si tendre en aurait – il pu en arriver là ?

Le mal enfuit en cette dernière ne faisait que grandir et prenait littéralement la forme d’une plaie inguérissable .

Ayant perdu toute force de se battre lorsqu’il se rendit dans sa chambre pour effectuer sa besogne ignoblement lâche , elle ne se débattue plus , elle n’avait que ses larmes pour exprimer son sentiment de déception . Cette fois, la vie lui avait donné un nouveau bourreau .

Un soir , désemparée et fatiguée de vivre avec cette douleur qui la détruisait à petit feu , cette dernière ingurgita des substances mortelles et s’auto-empoisonna. Quelques secondes plus tard , telles ses chances d’avoir un avenir radieux , Maria s’effondra .

CHAPITRE XI : L’ACTE DE MARIA

Après avoir commis cet acte de pécheresse , Maria ouvra les yeux et s’enfuit rapidement de la demeure de son bourreau sans se retourner . Selon elle quelques heures devraient s’écouler avant qu’elle ne perde la vie .

Elle marcha sans savoir dans quelle direction elle allait.

Cependant , l’épuisement s’empara de ses jambes et son corps devenait grandement fébrile . Ce n’était que les premiers symptômes car Maria s’était auto-empoisonnée quelques heures plus tôt.

Avait – elle prise une décision rationnelle en tentant de mettre fin à ses jours ?

 Le poison qu’elle avait ingéré faisait discrètement effet dans son organisme . Peu de temps après elle s’écroula , bien qu’elle ne regretta point d’avoir posé un tel acte odieux .

Quelques instants plus tard dans la journée , la fille du docteur , ayant remarqué l’absence de la douce Maria , se senti à nouveau seule , sans partenaire et surtout sans écouter les douces mélodies interprétées par Maria . De ce fait , elle se mis à ses trousses .

Dans l’instance de quelques minutes elle la retrouva , on aurait dit qu’elle était guidée par un esprit divin.

Maria était visible à une dizaine de mètres , près d’un champ . Telle une personne agonisante , sa respiration diminuait minute par minute , seconde par seconde .

Instantanément , cette fille muette au cœur bavard s’empressa de trouver de l’aide .

Miraculeusement , elle eu la chance de tomber sur la route d’un vielle homme qui se rendit en ville et accepta de lui venir en aide.

Le chemin fut long , Maria était inconsciente , ses yeux fermés et sa bouche légèrement ouverte laissaient croire à ses deux sauveteurs qu’elle était dans et déjà décédée .

En effet , elle souffrait vraisemblablement de tout son être . Vivre dans la souffrance était devenu son quotidien, un quotidien qui lui avait fait oublier ses principes. Sa conscience lui réprimandait mais son âme jouait la sourde .

La communication étant d’autant plus difficile avec la fille du médecin , le chemin de la route fut silencieux .

Arrivé en ville, le généreux vieillard au comportement délicat les conduit dans l’hôpital le plus proche de la ville selon leur positon . Un endroit reculé mais bien accueillant.

Immédiatement , elle fut reçu aux urgences en réanimation et se fut procurer les soins adéquats . Il fallait sauver la vie de cette innocente , elle était dorénavant dans le coma.

CHAPITRE XII : LE RÊVE DE MARIA

D’un matin sournoisement rayonnant , il faisait beau temps. Le soleil était devenu le porte parole des meurtris et les nuages leurs apportaient le bonheur que la vie leur avait arraché .

 La ville dégageait une sonorité alourdissante telle un jour de fête , toutefois du côté de Maria , nul ne saura rien présager . Elle était toujours endormit dans ce sommeil partiel .

Cette jeune femme qui n’ayant auparavant aucun ami , reçu la visite de quelques lycéens qui compatissaient à son sort , bien qu’elle demeura silencieuse.

Qui étaient donc ces lycéens?

Pendant ce sommeil , le souhait de Maria c’était réalisé. Elle avait enfin retrouvé son amoureux , un être aimant au cœur de prince ; C’était Valentin Joyeuse de la revoir, il lui approuva sa collation face à tout ce que elle avait subit et lui présenta ses excuses car il n’avait pas honoré à sa promesse ; Celle de la protéger.

Maria émue , le rassurait que ces atrocités n’était que du passé , qu’aujourd’hui ils étaient enfin réunis et pouvaient recommencer leur vie sans aucun bémol .

Le paysage dans lequel ces tourtereaux se trouvait était semblable à une destination paradisiaque. Les oiseaux et les bêtes défilèrent dans une symbiose naturelle tel dans le jardin d’Eden .

Valentin était heureux de revoir les yeux angéliques de sa dulcinée . C’est ainsi qu’il lui conta la raison de son départ.

En effet , il était effrayé à l’idée de devenir père , la peur de ne pas assumer ce rôle , la honte de ne pas tenir sa promesse l’avait envahit.

Cependant son départ n’était guère prémédité au point de prendre une durée éternel , toutefois la vie en avait décidé autrement .

Malgré toutes les douleurs qu’elle ressentait , Maria trouva les mots pour réconforter l’élu de son cœur , c’est ainsi qu’il lui dit : « Je t’aime et je t’aimerai toujours , tu es la meilleure chose qui me soit arrivé mais tu ne peux pas resté ici avec moi »

Maria rétorqua :« Mais pourquoi ? Je me sens si bien à tes côtés , ma place est auprès de toi » Comment ne pas être heureux quand on a la plus belle des compagnies ?

Valentin semblait enthousiaste mais savait que ce n’était pas le moment pour eux d’être ensemble alors il répliqua d’une voix mélancolique: « Ma dulcinée , certes je t’aime mais ton heure n’est pas encore arrivée , tu as encore tellement de choses à accomplir sur terre . Beaucoup de gens ont besoin de ta présence et cet être qui viendra au monde aura besoin d’une femme au grand cœur pour lui accorder tout l’amour possible . Je serai toujours près de toi ma chérie »

À cet instant , les larmes avait envahît les yeux de Maria , ses proches venus la réconforter lui essuyèrent les larmes pouvant apparaître sur son visage pendant son état inconscient et lui dirent

 « Maria tu es une fille tellement forte , parfois la vie nous fait traverser des difficultés pour que nous puissions rentrer en contact avec notre bénédiction , vas et accomplis ce pourquoi tu es venu sur terre , nous t’aimons »

Après ses paroles , des larmes chaudes, Maria se réveilla miraculeusement de son coma.

CHAPITRE XIII : LA RENAISSANCE DE MARIA

Quelques jours après cette expérience récidiviste , Maria se réveilla de son coma.

En effet , cette dernière avait assoupi ses désirs les plus profondément refoulées.

Entre ses peines , son amour, ses blessures la jeune fille semblait avoir trouvé la solution à ses maux.

Elle était sorti de ce coma plus rassurée qu’auparavant .Le courage de se lever et de se battre avait régénéré son âme . Elle était désormais déterminée à faire face aux difficultés qui lui était confrontée par la vie. À cet effet , parfois nous avons juste besoin d’une oreille attentive sur qui compter pour nous confier. Se libérer de nos plus sombres pensées nous exalte à nouveau. Dans le cas de Maria , c’est l’amour éternel pour ses êtres les plus proches qui lui ont donné ce courage. Notamment celui d’Esteban .

Mais était-ce réellement ses proches ou un être d’une dimension céleste qui venu à son secours ? Le lendemain de son réveil, Maria avait besoin de se submerger de repos pour récupérer en force car elle semblait si faible qu’elle ne prononça aucun un mot. Cependant son cœur parlait un langage que seuls les sages comprenaient. Elle avait acquit le pouvoir du secret , le fait de nourrir une pensée ou une passion désirée en considérant qu’elle nous est acquise.

 La fille du docteur à qui elle devait la vie ne l’avait également jamais quitté des yeux pendant son sommeil partiel . Elle éprouvait de la compassion pour cette jeune fille à qui la vie n’avait guère fait de cadeaux telle une sœur. C’est ainsi que Maria raconta toutes les atrocités qu’elle eu vécu.« J’étais là dans cette chambre je ne pouvait point m’empêcher de rester muette , les larmes avaient envahit mon être. Mon cœur était compressé par la douleur intempestive de cette oppression »

Pourquoi une fille aussi jeune avait-elle pu subir ses maux cruels ?Esteban s’exprima!

Difficile de s’en remettre , mais confiante nous restions près d’elle afin de la réconforter. Elle ne me connaissait pas réellement ou du moins personnellement , j’étais un ami à la fille du docteur timide sans voix . Chaque parole qu’elle faisait sortir me berçais. Et cela se répéta pendant près d’une semaine , nous étions devenus si proches . Les patients nous appelaient le trio angélique car Maria dégageait un Ora positif et si touchant auprès de son entourage.

Un soir, je m’étais rendu dans cette même chambre où le bonheur s’était installé pour y récupérer mon carnet de notes que j’avais bêtement oublié après ma visite. Soudainement avant de passer mon pied à travers la porte , j’étendis un son particulier, une voix si angélique, cette voix donnait des frissons et apaisait mes mœurs .

C’était celle de Maria , Dieu l’avait bénit d’une voix magnifique . C’est à cette instant inoubliable que je m’étais rendu compte d’un point essentiel ; je venais de tomber sur une perle rarissime >> dit – it il avec les larmes débordant des yeux .

CHAPITRE XIX : LA GLOIRE DE MARIA

D’une chaude matinée, les oiseaux chantaient, les fleurs dansaient au rythme du vent.

Ce fût un nouveau jour pour Maria. Elle se sentait mieux. Sa voix c’était familiarisée avec le bruit des machines. Souriante, elle découvrait une autre facette de la vie. Ses douleurs et ses peines se transformèrent en atout.

L’enthousiasme de croquer la vie à pleine dent avait enveloppé son cœur.

C’était son jour, elle pouvait sortir de son isolement car cette dernière voyait cet hôpital comme un enfer carcéral. Une prison qui l’avait enseignée l’art de la sagesse.

 Avant sa sortie, le médecin lui prodigua des conseils qui devaient s’avérer être bénéfiques à son rétablissement ainsi qu’à son épanouissement.

Elle était à l’écoute et prête à tout recommencer.

Plusieurs semaines passèrent, Maria était devenue une nouvelle personne.

Un matin nous lui rendit visite. Elle était si heureuse de nous voir.

Étant donne que Esteban était passionné de musique, il l’invita dans son studio d’enregistrement afin de la faire changer d’air. Mais au fond c’était pour un but précis.

De prime abord elle était réticente mais après elle finit par accepter.

Le jour du studio, elle était timide d’être à nouveau dans un nouvel environnement.

La peur de se lâcher était son partage. Mais nous étions là pour la rassurer.

À nos côté, elle se sentait en confiance car nous avons eu l’habitude de la procurer de la joie. C’est tous ce dont elle avait besoin ou du moins pour le moment.

Elle était émue de la bonté de sa voix, elle s’écoutait chanter et se donner du frisson par sa douce voix. Elle avait des larmes aux yeux car cette chanson reflétait tout ce qu’elle a vécu. Aujourd’hui, elle est devenu un témoignage vivant. Elle avait plus d’espoir.

Cela lui redonnera plus de courage et de confiance en elle.

Pour Maria, s’était une carrière fleurissante qui débuta. Après tous ces moments de persécutions, enfin la jeune fille se voyait revivre, elle se sentait importante de faire partie de quelque chose de grand.

Pour elle, c’était déjà à ses yeux quelque chose de grand. Elle voyait son futur meilleur tel un paradis qui lui avait été ouvert après toutes ses souffrances.

Elle pouvait enfin être elle. Nous, en l’écoutant chanter, nous avons trouvé une perle rare, une star est née en ce jour. Cette dernière avait repris confiance en elle et pendant ces quelques minutes nous avons l’impression que les anges chantaient avec elle car nous avions tous des larmes aux yeux à travers sa voix et la chanson interprétée. Nous pouvions voir sa peine et sa renaissance car aujourd’hui elle pouvait s’ouvrir au monde entier et enseigner à travers ce chant.

Une fille très timide et traumatisée par son enfance devenait une femme forte, sûre d’elle et prête à montrer au monde qu’elle était une étoile venant du ciel.

 «Oui nous pouvions le dire une icône . »

Après ce jour, elle rentrait à la maison. Le lendemain elle reçut un appel pour venir signer le contrat de sa vie. Ce contrat devait chambouler toute sa vie car elle n’aurait jamais cru que de la ou elle venait elle pourrait être autant appréciée sans avoir à donner quelque chose en retour.

Un an après elle devient célèbre, on l’appelait « L’icône » De jour en jour elle se perfectionnait et devenait polyvalente. Hors mis la musique elle créa une fondation pour aider les jeunes filles et jeunes femmes dans le monde entier. Elle était à l’écoute car elle savait d’où elle venait. Étant une source de bénédiction pour ses autres femmes et fille,. Son premier gala, elle reçut plus (10millions de dollars) pour sa fondation.. Elle était émerveillée ! Cette jeune fille n’y croyait pas. Elle allait de gloire en gloire. Elle rencontrera un homme qui l’admirait et tous les jours après ses dures journées prenait de ses nouvelles, pendant un mois il l’appelait chaque fois sans rien lui demander, le mois après il l’emmenait faire des activités et sorties il se rapprochait plus d’elle et ils étaient tellement proches comme s’il se connaissait depuis leur enfance en quelques mois ils étaient comme des meilleurs amis.

Maria ne sachant pas ce qui lui attendait lors de son deuxième gala qu’elle organisa avec l’aide de son nouvel ami, un parfait gentleman.

Au milieu de la soirée, les changements de lumière et musique toute la salle était presque sombre mais lumineuse par des lumières décoratives. La musique qui passait était cette première chanson que Maria avait chanté au studio avant d’être signé, elle était sans mot car elle n’avait pas mis cette chanson dans la playlist pour cette soirée. Elle se demandait « Qu’est-ce qui se passe . » Elle se leva et alla vers le podium et en se retournant cet homme grand à l’allure charismatique était à genoux tendait une bague pour demander sa main en mariage. Elle ne s’y attendait pas elle s’est mise à pleurer et a crié «OUI » avec pleins d’émotions. Et tout le monde se leva et applaudit toutes ses grandes personnalités venues pour la célébrer ces moments de joies avec elle.

Maria était tout compte fait une femme très bénie.

« Oui Dieu était avec elle tout au long il l’avait bénie depuis le ventre de sa mère.»

Certaines personnes se sentent meurtris à cause des moments difficiles que la vie leur affligent .

La souffrance envahit souvent leur entourage et les poussent à oublier la mission à laquelle Dieu les a envoyé sur terre. Il est bien vrai que la vie ne soit pas facile pour certains, mais il ne faut pas se

 focaliser sur les blessures, les déceptions car ces sentiments sont juste passagers. Croyez en vos rêves, vos ambitions. Aussi, il est important de se fixer des objectifs.

L’exemple de Maria peut être un cas d’exemple , la vie ne lui a pas accordé que des roses elle a souffert, elle a connu la misère finalement elle s’est relevé tel un héros et a accomplie son rêve.

Ceci peut être ton cas, tu te dis sûrement que ta souffrance est une punition ou un karma mais c’est pas pour autant que tu devrai baisser les bras

Parfois, les persécutions sont un passage pour ta destinée pour la façonner qu’elle soit un témoignage vivant et qu’elle puisse aider plusieurs personnes qui traverse une situation similaire dans le monde.

« Tu es un Leader, à travers ton histoire tu peux impacter toute une génération alors lève-toi et nourrit ton rêve ne baisse jamais les bras car toute personne qui nourrit un rêve avec conviction matérialisa sa pensée »

Auteur: Farel Emmanuel. M

NEWS: AFRICA’S BEST SINGER COMES TO SURPRISE US!

No need to guess for long… ELJAY FINALLY arrives with his very first solo project, and he’s not coming to play!

AFRICAN BAD BOY” — the long-awaited project from the iconic Kiff No Beat member — will be available on April 30, 2025. And believe us, it’s a musical slap in the face!

Voice, charisma, style… ELJAY intends to remind all of Africa why he’s considered one of the best singers in the game, no less.

Ivory Coast, prepare to tremble. « AFRICAN BAD BOY IS COMING. »

NEWS: SINDIKA WILL BE PRESENT AT THE FHB STADIUM TO SUPPORT DIDI B

Recently, the artist spoke out via his Facebook page:

Sindika : This isn’t just a concert… it’s a brother’s dream that I’m here to honor.

On May 3rd, I’ll be alongside Didi B at the FHB Stadium, not only as an artist, but as a witness to his journey, his struggles, his greatness. This moment is also ours. Thanks for inviting me, bro. We’re going to make a lasting impression.

NEWS: MBATTE IS OUT !!!

Let’s get this straight!!!! The news is out. The Dakar-based artist has just released his project, MBATTE, which is available on all legal streaming platforms. A lack of communication, just like this project. Could this be a marketing strategy or a weakness on the part of his team?
While waiting for answers, I’ll let you enjoy this project.